Depuis que je sais que des jeunes filles en Asie du Sud-Est sont abusées sexuellement afin de survivre , il fut clair pour moi que je ne connaîtrais plus le repos à moins d’engager le combat contre cette nouvelle forme d’esclavage.

En tant que chrétien, je ne peux pas rester les bras croisés devant cette manifestation du mal à l’état pur. Il me faut agir de la façon la plus vigoureuse possible.

Être les yeux, les oreilles et la voix de toutes les jeunes victimes du trafic sexuel, voilà toute l’essence de mon travail de photojournaliste et de président de Talitha Koumi.