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METTRE UN VISAGE SUR LE MAL

Quand on pense à un proxénète, un trafiquant, un pédophile ou encore un psychopathe, on imagine souvent quelqu’un avec un visage menaçant ou terrifiant alors qu’en réalité, ces criminels ressemblent à monsieur-madame tout-le-monde.

Même chose pour une victime d’exploitation sexuelle, en d’autres mots, une prostituée.

Dans ce dernier article de la série, nous vous invitons à faire la rencontre d’un abuseur, M. Suliman, trafiquant et proxénète , que nous avons pu interroger dans un bordel du district d’Indramayu, dans la province de Java Ouest.

Bonne lecture !

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Un thé avec M. le député

Dans ce 3ème et avant-dernier article de la série réalisée lors de notre dernier reportage en Indonésie sur le sujet de la prostitution juvénile, nous avons pu nous asseoir avec un député afin d’avoir son opinion sur cette problématique.

 

3- Un thé avec m. le député

 

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Prostitution: Le point de vue du chef de police du Village de Bongas

Dans cette entrevue, vous pourrez découvrir comment le nouveau chef de police du village de Bongas perçoit la problématique du trafic sexuel dans son village et aux alentours.

Bonne lecture !

Cliquez sur le lien pour lire l’article: 2- Maryudi FR

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Mieux comprendre la prostitution: 4 entrevues

Après 3 ans d’attente, Talitha Koumi(TK) a enfin pu retourner en Indonésie afin de voir comment progresse notre lutte contre la prostitution chez les filles mineures ! Dans le cadre de son mandat, Talitha Koumi a aussi comme mission d’enquêter et de rédiger des articles avec photos afin de mieux comprendre la situation de la prostitution ainsi que de l’exposer.

Pour ce faire, Daniel Jean, photo journaliste pour Talitha Koumi a pu réaliser 4 entrevues avec des acteurs du milieu de la prostitution, tant chez les mineures que chez les femmes de plus de 18 ans.

Pendant les 4 prochaines semaines, vous êtes invité à consulter le blog de TK afin de suivre les reportages notre photojournaliste.

Cette semaine, nous discutons avec Mme Suzi Anti, directrice adjointe du service de la protection de l’enfance et de la condition féminine.

N’oubliez pas de remplir le formulaire d’inscription à notre lettre de nouvelles !

Bonne lecture !

 

Cliquez 1- Suzi Ianti entrevue(fr)  pour lire l’article.

 

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QUOI DE NEUF, ELSA?

Elsa est une jeune fille qui a joint le programme de prévention du trafic sexuel des jeunes filles de Talitha Koumi il y a de ça 4 ans maintenant.

Découvrez par vous-même la différence que Talitha Koumi peut faire dans la vie d’une jeune fille ainsi que de sa famille.

Cliquez sur QUOI DE NEUF, ELSA ? pour visionner.

Bonne écoute !

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CE N’EST PAS ILLÉGAL MAIS EST-CE MORAL ?

Bizarrement, et bien que le consensus sur la question soit acceptée à l’international, le tourisme sexuel n’est pas un crime en Indonésie puisque le crime en tant que tel n’est pas défini dans le cadre légal.

En conséquence, l’Indonésie ne connaît aucun répit pour ce qui est de l’augmentation des crimes à caractère sexuel chez les mineurs, tant fille que garçon.

Le ministère indonésien de l’autonomisation des femmes et de la protection de l’enfance (KPPPA) a enregistré une forte augmentation des cas de traite des êtres humains pendant la pandémie avec 256 victimes en 2021, contre 213 en 2020 et 111 en 2019.

L’exploitation des enfants, y compris l’utilisation de mineurs dans des activités criminelles et des travaux dangereux, est également en augmentation, avec plus de 165 cas signalés en 2021 – contre 133 en 2020 et 106 en 2019, la plupart des victimes provenant de l’ouest de Java et de l’est de Nusa. Provinces de Tenggara.

Selon les chiffres les plus récents disponibles du Global Slavery Index de l’ONG australienne Walk Free, environ 1,2 million d’Indonésiens ont été réduits en esclavage en 2016. Beaucoup ont été victimes de la traite pour le travail domestique dans leur pays et à l’étranger ou exploités dans le commerce du sexe. Environ 43 % des victimes indonésiennes de la traite seraient âgées de 14 à 17 ans.

(https://pulitzercenter.org/stories/covid-19-has-worsened-child-sex-trafficking-indonesia-including-resort-paradise-bali)

Juste en 2016, on parle de 1,2 millions d’indonésiens réduits à l’esclavage ! Depuis, la planète a été frappé par la pandémie de covid-19 et sans surprise, les plus pauvres parmi les pauvres ont été frappés encore plus durement. La pandémie et son corollaire (le fameux confinement) a privé beaucoup d’Indonésiens du peu que leur travail de misère parvenait à leur donner.

Il est très difficile de changer les moeurs d’une population et en général, en Asie du Sud-Est, on fait peu de cas de la prostitution. Lors de notre reportage en 2017, des témoins nous ont expliqué qu’elles préféraient que leurs maris aillent voir des prostituées plutôt que de prendre des maîtresses car cela les mettait moins en danger de se retrouver à la rue si jamais la maîtresse l’emportait sur la femme mariée. Il faut savoir qu’en Indonésie le statut de la femme est peu enviable et la scolarisation peu encouragée, ce qui en fait des victimes faciles à berner et très peu au courant de leurs droits.

 

Mentionnons également qu’il y a très peu de condamnations pour crime sexuel contre les enfants car sous la législation indonésienne, les auteurs de ces crimes (proxénète, trafiquant ou autre) ne seront pas poursuivi pour avoir enfreint les lois concernant trafic humain mais plutôt selon la loi de la protection de l’enfance. Ces articles de loi entraînent des peines beaucoup moins lourdes pour ceux (et ils sont très rares) qui auront le malheur de tomber entre les pattes d’officiers de justice incorruptibles.

Le problème avec notre système juridique est qu’il est difficile de prouver si de tels cas peuvent être considérés comme de la traite des êtres humains », a-t-elle déclaré, ajoutant que la définition juridique devrait également inclure le transport, l’hébergement ou la « réception » de personnes ainsi que la fraude et la coercition. .

Et elle a souligné que si les victimes sont des enfants « parfois, les auteurs ne peuvent être inculpés qu’en vertu de la loi sur la protection de l’enfance, et non de la loi contre la traite ».

(https://pulitzercenter.org/stories/covid-19-has-worsened-child-sex-trafficking-indonesia-including-resort-paradise-bali)

Chez Talitha Koumi, loin de nous décourager ces chiffres et faits ne font que renforcer notre détermination à faire partie de la lutte contre cette forme moderne d’esclavage. Grâce à nos généreux donateurs et au staff de notre partenaire sur l’île de Java, nous sauvons de précieuses jeunes filles, une par une. Nous faisons nôtre les valeurs du Seigneur Jésus pour qui la valeur d’une seule âme aurait justifiée sa mort sur la croix.

 

 

 

Talitha Koumi est un organisme de lutte contre la traite de mineurs qui dépend entièrement de donateurs. Nous ne sommes affiliés à aucune dénomination religieuse ni gouvernementale afin de préserver notre indépendance.

Cliquer pour DONNER.

 

 

 

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Courir pour affranchir ! Levée de fonds annuel de Talitha Koumi

C’est avec un grand plaisir que Talitha Koumi vous invite à sa première activité de levée de fonds annuel de son histoire. Venez vous amuser avec nous le samedi 30 avril à Granby, dans les Cantons de l’Est (ou l’Estrie).

Nous vous invitons à venir marcher ou courir 5 km, ou encore 10 km, et ainsi assurer un avenir meilleur aux jeunes filles de l’Indonésie !

Pour les détails et le formulaire d’inscription, cliquez sur COURIR

S’il reste des questions en suspend après avoir visité la page COURIR, contactez-nous et nous répondrons à toutes vos questions.

Au plaisir de vous voir en grand nombre !

Daniel Jean, photojournalists et PDG de Talitha Koumi.

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Une nouveauté à voir absolument !

Nous l’attendions depuis un bon moment mais tout s’est bien passé, grâce à notre Dieu tout-puissant !

Vous vous demandez peut-être ce que nous attendions ? Depuis quelques mois, nous avions besoin de fonds supplémentaires pour prendre 9 filles de plus sous notre aile. Mais pour ce faire, nous devions également ajouter un staff à notre équipe actuelle. Plus de personnel, plus de filles, plus d’argent !

Cette semaine, nous avons reçu d’excellentes nouvelles de l’Église Nouvelle Vie au Canada et avons donc pu aller de l’avant avec ce projet.

Maintenant, vous pensez peut-être : si Talitha Koumi a les fonds pour ces 9 nouvelles filles, pourquoi devrais-je devenir une marraine ou un parrain? Très simple. Quand quelqu’un s’engage auprès d’une fille, cela libère de l’argent pour qu’on puisse prendre une fille de plus et l’envoyer à l’école.

N’oubliez pas qu’il y a au moins 90 000 filles déjà prises dans des réseaux de prostitution et que celles que nous gardons à l’école ne tomberont pas entre les mains de trafiquants sexuels d’enfants.

Alors, s’il vous plaît, prenez quelques minutes et cliquez sur l’onglet NOS PRÉCIEUSES FILLES dans l’écran supérieur pour rencontrer nos filles. Tout ce que vous devez savoir pour devenir sponsor est également expliqué sur cette page. Si vous avez besoin d’explications supplémentaires, remplissez simplement le formulaire de contact et nous vous répondrons.

Tu peux faire la différence ! Vas-tu OSER ?

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Une journée typique dans la vie de Yeti

Une journée typique dans la vie de Yeti

Dans cette courte vidéo, vous découvrirez à quoi ressemble une journée typique dans la vie d’une famille démunie vivant en Indonésie.

CLIQUEZ pour écouter.

CLIQUEZ pour donner.

Daniel Jean, Président-fondateur de Talitha Koumi

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SRI: L’exemple parfait d’une victime de trafic humain

We have just received the story of Sri Dewi, a 15-year-old Indonesian girl who has just been rescued from a human trafficking network.

Before being trapped, Sri lived with his mother, stepfather and sister.

They live with difficulty from a small business and since the school takes place online, Sri likes very much to help his family to exploit this one.

In 2021, a friend contacted her to offer her a job in a café in the city of Surrabaya. As soon as she arrives, a trafficker involved in human trafficking seduces Sri by offering her a better paying job on the island of West Papua.

Shortly after arriving on the island, he is flown into the jungle by helicopter to work in a cafe near a mine. This is when things get tricky.

When Sri fails to meet the cafe owner’s sales targets, she suffers physical and verbal abuse.

She will manage to get in touch with her mother and thanks to a child protection worker, she manages to return home.

She is currently hospitalized because she suffers from appendicitis, a urinary tract infection and kidney stones. Due to an error on her health insurance, we may not be able to treat her.

Sri is the perfect example of the typical victim of human trafficking. In order to help her family, she was trapped by highly skilled predators.

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